Témoin de son passé, le patrimoine vous fera découvrir,
la riche histoire du Médoc !
Terre de contrastes, le Médoc fascine !
Son estuaire, porte d’entrée pour les envahisseurs des mers, est gardé par les phares de Cordouan, de Grave, de Richard, de Patiras. Il baignait une terre pauvre, devenue riche grâce à la vigne et à ses châteaux.
Le goût des bains de mer offrit un nouveau destin à ses rivages sauvages que fréquentaient les
« naufrageurs ». Et Soulac mit à la mode le style « Côte d’Argent ».
Le Médoc est tellement fascinant que l’UNESCO y a trouvé matière à inscription !
La reconnaissance de l’UNESCO
Le Médoc accueille très tôt les pèlerinages vers Saint Jacques de Compostelle et c’est à ce titre là que la basilique Notre-Dame-de-la-Fin-des-Terres fut inscrite au patrimoine de l’UNESCO.
Le Médoc devant protéger une des entrées fluviales vers Bordeaux, Vauban y déploiera son talent. Il construira Fort-Médoc, un des « verrous de l’estuaire » avec Blaye et Fort Pâté, également distingué par l’UNESCO.

Soulac station 1900

Avec l’arrivée du chemin de fer et le goût des bains de mer, Soulac s’habilla d’élégantes villas de brique rouge, aux encadrements de pierre de taille, aux auvents, lambrequins et flèches de bois.
Une station balnéaire au charme fou !
Un chapelet de Phares
Le phare de Cordouan, en cours de procédure d’inscription à l’UNESCO, est le plus vieux phare d’Europe et le seul phare en pleine mer au monde encore habité. Depuis 400 ans, ce phare royal croise ses feux avec ceux de La Coubre (rive droite) et de Grave (à la Pointe de Grave). D’autres phares jalonnent l’Estuaire, mais ils n’ont plus qu’un rôle anecdotique (phare de Richard, phare de Patiras ou de Trompeloup).

À chacun son Château

Villas palladiennes, humbles bourdieux, élégantes chartreuses, les périodes de prospérité viticole nous ont laissé les témoignages de l’ambition créatrice des propriétaires et autres investisseurs.
Et tant pis, si le terme de « château » paraît à certains présomptueux !